COP 21 Université Grenoble Alpes
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Impact du changement climatique sur les ressources en eau: le cas des régions de montagne et des régions tropicales
le 28 avril 2015
20h
20h
Conférence de Isabella Zin (LTHE & Grenoble INP) et Thierry Lebel (LTHE & IRD)
Même si aujourd'hui les connaissances scientifiques sont solides concernant l’évolution du climat à l’échelle globale, de nombreuses incertitudes apparaissent concernant les impacts localisés de cette évolution. Ceci s’explique par les fortes disparités régionales, mais aussi par les interactions entre changement climatique et autres changements environnementaux ou socio-économiques.
Ainsi, de faibles modifications climatiques peuvent avoir de fortes conséquences en matière de disponibilité des ressources en eau ou d’exposition aux risques liés aux sécheresses et aux inondations.
Le cycle de l’eau est un élément déterminant de la machine climatique planétaire : il joue un rôle important dans le transport et la redistribution de l’énergie solaire reçue à la surface du globe. En retour, les flux d’eau entre l’atmosphère, les continents et les océans sont influencés par le climat. Tout changement significatif du climat se traduit donc par des modifications importantes dans les précipitations, les débits des cours d’eau et l’évapotranspiration.
En s’appuyant sur les travaux du GIEC concernant les évolutions des températures et précipitations dans différentes régions du monde selon des scénarios d’émission de gaz à effet de serre, Thierry Lebel et Isabella Zin, chercheurs du Groupe COP21-UGA, replacent ces évolutions en cours dans celles enregistrées antérieurement dans l’histoire du climat.
Ils s’intéressent à deux types de territoires emblématiques : les régions de montagne et les régions tropicales.
Dans les deux cas, ces modifications sont particulièrement difficiles à appréhender, car elles dépendent des spécificités des climats locaux et des interactions entre hausse des températures et évolution des précipitation. Les populations sont particulièrement exposées et vulnérables aux changements, mais avec des implications socio-économiques différentes, par les différents modes de vie.
Retrouvez la présentation des conférenciers
Ainsi, de faibles modifications climatiques peuvent avoir de fortes conséquences en matière de disponibilité des ressources en eau ou d’exposition aux risques liés aux sécheresses et aux inondations.
Le cycle de l’eau est un élément déterminant de la machine climatique planétaire : il joue un rôle important dans le transport et la redistribution de l’énergie solaire reçue à la surface du globe. En retour, les flux d’eau entre l’atmosphère, les continents et les océans sont influencés par le climat. Tout changement significatif du climat se traduit donc par des modifications importantes dans les précipitations, les débits des cours d’eau et l’évapotranspiration.En s’appuyant sur les travaux du GIEC concernant les évolutions des températures et précipitations dans différentes régions du monde selon des scénarios d’émission de gaz à effet de serre, Thierry Lebel et Isabella Zin, chercheurs du Groupe COP21-UGA, replacent ces évolutions en cours dans celles enregistrées antérieurement dans l’histoire du climat.
Ils s’intéressent à deux types de territoires emblématiques : les régions de montagne et les régions tropicales.
Dans les deux cas, ces modifications sont particulièrement difficiles à appréhender, car elles dépendent des spécificités des climats locaux et des interactions entre hausse des températures et évolution des précipitation. Les populations sont particulièrement exposées et vulnérables aux changements, mais avec des implications socio-économiques différentes, par les différents modes de vie.
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